Gary Hoffman, La Dolce Volta

Brahms cello sonatas – « Un superbe disque »

Le mot qui vient à l’esprit à l’écoute de ce superbe disque, c’est celui de générosité.
Celle d’abord de partitions d’une humanité protéiforme (tour à tour lyrique, pastorale ou allègre), avec cette perfection de l’écriture qui n’appartient qu’à Brahms et réunit deux sonates pourtant séparées par plus de vingt ans.
Celle ensuite des interprètes : on ne vante plus les qualités ni de Gary Hoffman ni de Claire Désert. Ces deux-là se connaissent parfaitement, partageant un même souci de la rondeur sonore sans jamais sacrifier l’expressivité.

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